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M-CERT : anticiper, analyser, partager

Une plus grande résilience du monde maritime et portuaire passe par une capacité à anticiper la menace et à assister les victimes de cyberattaques. C’est la mission confiée au M-CERT (Maritime Computer Emergency Response Team) opéré par France Cyber Maritime.

Une vocation nationale

Le M-CERT est un centre national, basé à Brest. Il est en premier lieu chargé de la veille et de l’analyse de la menace ainsi que de la diffusion de bulletins d’information relatifs à la cybersécurité maritime et portuaire. Il assiste l’ensemble des opérateurs métropolitains et ultramarins.

Ses missions

  • Contribuer à prévenir les incidents de cybersécurité en renforçant les actions de sensibilisation, en assurant la promotion de la mise en œuvre des mesures de protection nécessaires, en détectant les vulnérabilités sur les réseaux et systèmes.
  • Analyser les vulnérabilités, les menaces, les attaques et les risques avec une perspective sectorielle.
  • Partager l’information d’intérêt pour le secteur en diffusant des bulletins dédiés et du renseignement d’intérêt cyber et en diffusant des avertissements et alertes de cybersécurité nationales et internationales.
  • Organiser, coordonner, centraliser, collecter et identifier les incidents cyber.
  • Coopérer aux niveaux régional, national, européen et international pour construire des réseaux de confiance en cybersécurité maritime.

Les services du M-CERT

• La réponse à incident

Les activités de préventions :

• Les activités de prévention

Soutiens et coopérations

Le M-CERT est membre de l’association InterCERT France qui lui permet de s’intégrer au mieux dans le réseau des CSIRT et CERT français de premier plan pour lutter contre la menace cyber.

Le M-CERT bénéficie également de conventions de coopération sur le sujet de la cybersécurité maritime avec la Marine nationale et la Gendarmerie maritime.

Le M-CERT a reçu un financement initial dans le cadre de France Relance et un soutien de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) et du Secrétariat Général de la Mer.

Avec le soutien de